Titre
du livre :
|
Un
monde sans fin
|
Auteur :
|
Ken
Follett
|
Editions :
|
Robert
Laffont, Le livre de poche
|
Genre :
|
Roman
historique
|
Date de
sortie :
|
2009
|
Pages :
|
1285
|
Thèmes :
|
Moyen
âge, Angleterre, ambition, liberté, construction, vie monacale
|
Résumé éditeur :
|
1327.
Quatre enfants sont les témoins d’une poursuite meurtrière dans les bois : un
chevalier tue deux soldats au service de la reine, avant d’enfouir dans le sol
une lettre mystérieuse, dont la teneur pourrait mettre en danger la couronne
d’Angleterre. Ce jour lie à jamais leurs sorts... L’architecte de génie, la
voleuse éprise de liberté, la femme idéaliste, le guerrier dévoré par
l’ambition : mû par la foi, l’amour et la haine, le goût du pouvoir ou la soif
de vengeance, chacun d’eux se bat pour accomplir sa destinée dans un monde en
pleine mutation – secoué par les guerres, terrassé par les famines, et ravagé
par la Peste noire. Avec Un monde sans fin, Ken Follett nous offre une nouvelle
fresque historique aussi séduisante et captivante que Les Piliers de la Terre,
cette superbe épopée romanesque qui avait pour cadre l’Angleterre du xiie
siècle.
Mon
avis :
|
Ken
Follett est un de mes auteurs préférés.
Oui mais voilà, depuis ma lecture de Les Piliers de la terre il y a deux ans, je n'avais rien lu de l'auteur, et les 1300 pages d'Un monde sans fin m'intimidaient énormément.
Je suis ravie de vous annoncer que j'ai retrouvé le même plaisir intact à la lecture de celui-ci que pour les Piliers de la terre.
Ce que j'adore par-dessus tout avec Ken Follett c'est qu'il arrive à m'immerger pleinement dans son histoire dès le prologue. Avec lui pas besoin d'attendre 100 ou 200 pages pour être dans l'histoire, il capte d'entrée de jeu mon attention. Et sur un pavé de 1300 il me semble que c'est un exploit assez important pour être souligné.
Oui mais voilà, depuis ma lecture de Les Piliers de la terre il y a deux ans, je n'avais rien lu de l'auteur, et les 1300 pages d'Un monde sans fin m'intimidaient énormément.
Je suis ravie de vous annoncer que j'ai retrouvé le même plaisir intact à la lecture de celui-ci que pour les Piliers de la terre.
Ce que j'adore par-dessus tout avec Ken Follett c'est qu'il arrive à m'immerger pleinement dans son histoire dès le prologue. Avec lui pas besoin d'attendre 100 ou 200 pages pour être dans l'histoire, il capte d'entrée de jeu mon attention. Et sur un pavé de 1300 il me semble que c'est un exploit assez important pour être souligné.